Simon CHammas
Enseignant de méditation mbsr
J’ai découvert pour la première fois la méditation à travers ma pratique du yoga en 2011. Ma pratique m’a aidé à traverser les périodes plus intenses de ma carrière et le stress qui s’en suivit.
En 2019, j’ai décidé d’aider les autres à trouver leur pratique méditative et d’en faire la leur.
Je suis inscrit depuis 2021 au registre de la Brown University des enseignants de méditation MBSR reconnus.
Je suis actuellement basé à Jakarta, en Indonésie. J’enseigne également internationalement en visioconférence.
à propos du mbsr
La réduction du stress par la pleine conscience, ou “Mindfulness-Based Stress Reduction” (MBSR) en anglais, est un programme expérientiel intensif de 8 semaines fondé sur des données probantes. Durant ce programme, les participants découvrent et se forment à différentes pratiques méditatives (statiques et en mouvement). Les participants sont invités à s’approprier la pratique et intégrer leurs enseignements et découvertes dans leurs vies quotidienne.
Créé en 1979 par Jon Kabat-Zinn, Ph.D., le programme MBSR a plus de 40 ans de recherche scientifique à son actif. Elle démontre systématiquement les effets positifs associés à l’accroissement de la régulation émotionnelle, régulation de l’attention et de la conscience.
mbsr - quelle efficacité?
Extrait de la Revue Médicale Suisse #347
“De nombreuses études non contrôlées, contrôlées et parfois randomisées (Randomized controlled trial – RCT) ont été réalisées pour déterminer l’efficacité de la MBSR dans le traitement des douleurs chroniques. Une étude récente,11 portant sur des patients présentant des douleurs chroniques diverses, montre une diminution significative de l’intensité de la douleur et des limitations fonctionnelles après MBSR, particulièrement pour les patients souffrant d’arthrite. Plus généralement, une méta-analyse récente de travaux évaluant l’impact de la MBSR sur la santé mentale de patients douloureux chroniques indique que la MBSR permet de diminuer la symptomatologie anxio-dépressive et la détresse psychologique.12 Dans le même ordre d’idées, Chiesa et Serretti13 relèvent que les approches basées sur la pleine conscience semblent utiles pour augmenter la tolérance à la douleur et son acceptation, de même que la qualité de vie.”